Selon le ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khelil, les réserves prouvées de l’Algérie en uranium avoisinent les 29 000 tonnes.
Des quantités « insuffisantes » pour développer un programme national de production de l’énergie nucléaire à des fins pacifiques.
« Actuellement, nous disposons d’environ 29 000 tonnes de réserves prouvées d’uranium qui peuvent être exploitées » dans la production de l’énergie nucléaire, pour « faire fonctionner seulement deux centrales nucléaires, d’une capacité de 1000 MW chacune, et pour une durée de 60 ans ».
Il faut, a-t-il dit, « augmenter ces réserves en lançant un programme de prospection »
(Les Afriques)